[Ce texte date de février 2012, mais je ne n’avais jamais publié auparavant.]
Beaucoup de livres me semblent, sous couvert de «littérature» ou de «poésie», errer dans une confusion totale entre la magie et la subjectivité. La subjectivité est notre outil, nos lunettes pour percevoir le monde. La magie, c’est quand notre perception est elle-même la réalité, qui est alors modifiée au gré de nos états mentaux.
Un déclic en lisant un livre sur l’écriture…
J’ai compris un truc en lisant le livre Write Away, d’Élisabeth Georges. En ce monde, deux types de lecteurs existent et un gouffre immense les sépare. Continuer la lecture de « Écrire : magie blanche ou magie noire ? »